Bert Hellinger, le fondateur des constellations familiales est décédé le 19 septembre 2019 à près de 94 ans.
C’est un destin peu banal que celui de cet homme né en Allemagne s’est forgé. D’abord en tant que prêtre-missionnaire chez les Zoulous puis en s’intéressant à la philosophie et à différentes approches psycho-corporelles et analytiques. Dans les années 90, il propulse son approche « phénoménologique » de la thérapie familiale systémique sous l’intitulé de « constellations familiales ».
Son oeuvre est immense et son influence a marqué tant ses admirateurs que ses détracteurs.
Pour ma part, je lui rends hommage en ce jour car il a donné du sens à ce que j’ai pu vivre et transmuter tout en m’apportant un outil d’accompagnement précieux pour mes clients. Outil de libération de loyautés familiales invisibles et pourtant bien actives, qui empêchent de vivre son propre destin.
Selon lui, la mort n’est qu’un passage, une transition d’un état à un autre et c’est en acceptant son destin et sa mort que la vie prend toute sa dimension. De plus, la constellation familiale a su révéler que le contact avec les personnes disparues et la pacification des contencieux (comptes en cieux !) restaient possibles -au delà du temps et de l’espace- grâce à ce travail de constellation symbolique et sacré.
J’honore sa mémoire et sa contribution au bien-être de l’Humanité.
Avec toute ma révérence pour le travail accompli.
Merci.