Mission de vie ou mission d’âme

Quelle est ma mission de vie ou mission d’âme ?

 

Mission de vie ou mission d’âme, la question de son existence ne se pose que lorsque l’on sort de la dimension uniquement matérielle de sa vie.

 

  • Quelle est la raison de mon incarnation sur Terre ?
  • Quel est le but de ma vie ?
  • Quelle voie dois-je prendre pour être en accord avec moi-même ?
  • Quelle contribution unique puis-je apporter sur Terre ?

 

Autant de questions qui émergent lorsque l’on souhaite trouver ou retrouver un sens à sa vie. Nous ne sommes pas sur Terre pour manger, dormir, travailler, se divertir, souffrir puis mourir. Un sens plus profond existe, à nous de le trouver.

 

D’ailleurs, c’est ce que regrette la plupart des personnes qui se préparent à mourir.

 

  • Ne pas avoir eu le courage de vivre une vie fidèle à soi-même et avoir vécu la vie que les autres attendaient de nous ;
  • Avoir travaillé très dur et ne pas avoir consacré assez de temps à ses proches ;
  • Ne pas avoir osé exprimer ses sentiments ;
  • Ne pas s’être autorisé à être plus heureux.

 

Autrement dit, nous nous posons les questions suivantes :

 

  • Qu’as-tu fait de ta vie ?
  • Comment as-tu aimé ?
  • Quelle a été ta contribution à la vie ?

 

Alors comment trouver sa mission de vie ou mission d’âme ?

 

Il convient tout d’abord de distinguer la mission de vie qui est comme un fil rouge tout au long de notre vie d’un objectif qui une fois atteint appelle à en définir un autre. Pour autant, dans le cadre de notre mission de vie, nous pouvons poursuivre un ou plusieurs objectifs !

 

La première piste est de s’appuyer sur ses talents naturels, ce qui nous anime, ce que nous serions prêts à faire gratuitement si l’argent n’était pas un sujet. Or, partir de ses talents s’avèrent délicat car nous les exprimons comme nous respirons et en avons rarement conscience. Alors, posons la question à nos amis et connaissances : quels sont les talents que tu me reconnais ? Ce ne sont pas nécessairement des qualités mais des choses que nous faisons a priori facilement et qui sont perçues comme difficiles pour les autres.

 

Ce peut être par exemple : savoir mettre en relation les personnes, savoir fédérer des personnes autour d’un projet, alléger l’ambiance par sa présence et son humour, attirer les confidences même dans une file d’attente, s’occuper d’animaux et/ou savoir communiquer avec eux, partager ses connaissances, écouter, etc…

 

La seconde piste consiste à s’éveiller et à s’aligner à notre être intérieur, écouter son cœur, son corps et son âme pour percevoir plus finement ce qui nous met en joie. C’est une invitation à se relier à ce qui est plus grand que nous, à l’amour inconditionnel, à une forme de spiritualité qui nous permette de dépasser nos peurs. Cela signifie aussi allier le soi spirituel et le soi matériel, en développant des valeurs humanistes, autrement dit en incarnant la Loi de l’Un et les Esprits du Christ, au-delà de toute religion.

 

Pour cela, il nous faut être observateur de nos comportements et accepter de quitter le formatage qui nous a été imposé par notre éducation et le contexte sociétal. Cela invite à démanteler son EGO et travailler le discernement entre ce que veut l’ego et ce que veut notre Être supérieur ou âme. En effet, une mission de vie n’est pas centrée sur la satisfaction de l’ego ou la poursuite de gains personnels. C’est un engagement vers quelque chose de plus grand que soi. C’est une source d’inspiration pour les autres et l’évolution de la conscience collective humaine.

 

Enfin, il nous faut apprendre la patience car la révélation de notre mission d’âme se fait par paliers en fonction de notre âge et de notre évolution. Ainsi, notre mission est forcément différente à 15 ans, 30 ans ou 50 ans. J’aime aussi pointer que nous pouvons avoir de micro-missions dans une journée, comme aider quelqu’un en difficulté, faire un sourire à un enfant ce qui va lui mettre du baume au cœur, se déplacer à un certain endroit pour ancrer des fréquences d’amour et élever la vibration du lieu, etc.

 

A noter que notre mission d’âme est une RESPONSABILITÉ et n’a rien à voir avec quelque chose qui nourrirait à nouveau l’ego. Nous sommes tous membres de l’humanité et chacun apporte sa note très spécifique à l’édifice. Nous sommes tous invités à accomplir ce pour quoi nous sommes venus et si nous ne le faisons pas, d’autres devront assumer une part de responsabilité plus grande pour que le Plan Global Divin puisse s’accomplir. Sortons donc de la comparaison et de la dévalorisation car nulle action de colibri n’est anodine dans le cadre du Dessein Global.

 

Comment dépasser les freins et nous aligner sur notre mission d’âme ou mission de vie ?

 

  • Repérer les moules et les normes qui nous ont enfermés en repérant nos schémas répétitifs, nos habitudes et le formatage qui nous a été imposé.
  • Reconnecter avec nos valeurs.
  • Arrêter de faire plaisir aux autres en s’oubliant soi-même. Le service aux autres passe avant tout par l’amour et le respect de soi-même, sinon nous basculons dans le sacrifice. Donnons l’exemple en tout premier.
  • S’éloigner des donneurs de conseils (qu’ils n’appliquent pas toujours) et des personnes toxiques.
  • Démanteler son ego (ses doutes, ses peurs, le jugement négatif sur soi-même, les excuses pour ne pas agir, l’impatience, le manque de lâcher prise…).
  • Sortir de la peur d’être rejeté si nous sommes nous-mêmes. C’est bien souvent l’ego de l’autre qui veut nous faire barrage (jalousie, jugement négatifs, croyances limitantes…).
  • Oser sortir de sa zone de confort.
  • Avancer un pas après l’autre.

 

Et même si nous n’arrivons pas à la définir précisément, peu importe, suivons ce qui nous met en JOIE, ce qui nous donne un sentiment d’accomplissement et de participation au mieux-être de l’humanité !

 

 

 

 

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